Parmi les sources qu'elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches a trouvé peu d'information sur la Confrérie de la hache noire.
1. La Confrérie de la hache noire
Selon des sources, la Confrérie de la hache noire figure parmi [traduction] « "les plus notoires" » (Harper's Magazine sept. 2019) ou [traduction] « les plus redoutés des syndicats du crime organisé » (BBC 13 déc. 2021a), ou parmi les [traduction] « confréries ou sectes les plus importantes » au Nigéria (Australie 3 déc. 2020, paragr. 3.131). La BBC signale que les sociétés secrètes, également appelées [version française de la BBC] « confréries ou cultes de campus », comme la Confrérie de la hache noire, sont « interdites au Nigéria » (BBC 2 juin 2020).
1.1 Lien entre la Confrérie de la hache noire et le NBM
Des sources signalent que la Confrérie de la hache noire est issue du NBM (Harper's Magazine sept. 2019) ou était à l'origine connue sous le nom de NBM (BBC 2 juin 2020). Toutefois, d'après des médias, le NBM a publié un communiqué de presse dans lequel il nie [traduction] « tout » lien avec la Confrérie de la hache noire (Daily Trust 29 déc. 2021; The Nigerian Observer 2 oct. 2021). Des sources signalent que le NBM [traduction] « est apparu sur les campus [universitaires] nigérians dans les années 1970 sous la forme d'un mouvement de libération du pouvoir noir » (Harper's Magazine sept. 2019) ou que ses membres [version française de la BBC] « sont apparus dans les années 1970 » pour « "libérer" la race noire », au dire des fondateurs du mouvement; toutefois, la BBC fait remarquer que, dans les universités, « le groupe ne semble plus être animé par aucune idéologie politique » (BBC 2 juin 2020). Selon le Harper's Magazine, un magazine américain qui publie des articles sur [traduction] « la politique, la société, l'environnement et la culture » (Harper's Magazine s.d.), le NBM [traduction] « soutient que le groupe est passé d'une confrérie de campus universitaire à une ONG internationale vouée "à l'égalité et à la justice sociale pour tous" » (Harper's Magazine sept. 2019).
L'article du Harper's Magazine attire l'attention sur le fait que, d'après des autorités policières qui ont enquêté sur le NBM, [traduction] « la criminalité croissante parmi ses membres a corrompu » le NBM et que l'organisation « est maintenant étroitement liée – sinon entièrement assimilée – à la Confrérie de la hache noire » (Harper's Magazine sept. 2019). D'après la BBC, les États-Unis [traduction] « ont qualifié le NBM "d'organisation criminelle" et affirmé que le mouvement "fait partie de la Confrérie de la hache noire" », alors que « les autorités canadiennes ont déclaré que la Confrérie de la hache noire et le NBM "sont pareils" » (BBC 13 déc. 2021a). Toutefois, selon la même source, le NBM [traduction] « nie fermement tout lien avec la Confrérie de la hache noire et les avocats du groupe ont avisé la BBC que tout membre de la Confrérie découvert dans ses rangs serait "expulsé immédiatement" » (BBC 13 déc. 2021a). D'autres sources citent un communiqué de presse dans lequel le NBM déclare qu'il s'est [traduction] « dissocié » de la Confrérie de la hache noire (Daily Trust 29 déc. 2021; The Nigerian Observer 2 oct. 2021) et que le NBM est [traduction] « non violent » (The Nigerian Observer 2 oct. 2021).
D'après des médias nigérians, [traduction] « [a]u moins » une personne (Premium Times 25 janv. 2021) ou trois personnes (Vanguard 24 janv. 2021) ont été tuées lors d'un affrontement entre [traduction] « groupes sectaires rivaux », la Confrérie Aiye et la Confrérie de la hache noire, en janvier 2021 (Premium Times 25 janv. 2021; Vanguard 24 janv. 2021).
Dans un article faisant état du don d'abris de la part du NBM pour les agents de la circulation de la police de l'État d'Osun, le Premium Times, un journal en ligne nigérian, '''signale que le NBM est aussi connu sous le nom de la Confrérie de la hache noire ou Ayee; un porte-parole de la police de l'État d'Osun [traduction] « n'a ni démenti ni confirmé le don » (Premium Times 9 nov. 2019).
1.2 Initiation, rituels et serments du secret
Parmi les sources qu'elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches a trouvé peu d'information sur l'initiation, les rituels ou les serments du secret.
Des sources soulignent que le « 7/7 » [7 juillet] est connu comme le [traduction] « Jour du Nouveau mouvement noir d'Afrique » ou le « Jour de la Confrérie de la hache noire » (Pulse.ng 8 juill. 2022), ou que le [traduction] « "7/7" » est célébré par des groupes sectaires, particulièrement le NBM, comme « un jour de liberté » qui, d'après la police du Nigéria, « est aussi le jour où les nouveaux membres sont initiés aux groupes », et qui est « également l'occasion de fomenter la violence » (Premium Times 6 juill. 2022). Toutefois, dans un communiqué de presse publié sur son site Internet, le NBM signale que le groupe [traduction] « ne reconnaît pas » le 7 juillet comme étant la date de sa fondation et qu'il est « illégal » de tenir des activités de célébration ce jour-là (NBM 6 juill. 2022).
En citant un message affiché en 2016 par un membre de la Confrérie de la hache noire dans un [version française de la BBC] « forum secret », la BBC décrit l'initiation de ce membre, durant laquelle il a été flagellé, il a rampé entre les jambes de ses bourreaux – « une tradition connue sous le nom de "passage du diable" – avant de boire le sang d'une entaille dans son pouce et de mâcher une noix de kola » (BBC 13 déc. 2021b). De même, le Harper's Magazine fait état du récit d'un autre membre de la Confrérie de la hache noire selon lequel les nouveaux membres étaient « flagellés […] avec des tiges » durant leur initiation (Harper's Magazine sept. 2019).
1.3 Utilisation de symboles ou de signes distinctifs
Selon la BBC, le symbole du NBM est [version française de la BBC] « une hache noire brisant des chaînes » (BBC 13 déc. 2021b). D'après le site Internet du NBM, le symbole de l'organisation est la hache qui [traduction] « sert à briser les chaînes de l'oppression et de l'injustice sociale ainsi qu'à combattre d'autres fléaux qui ont entravé le progrès des personnes de couleur dans le monde entier » (NBM s.d.). La même source fait observer que les couleurs de du NBM sont le noir qui représente la population noire, le blanc qui signifie la paix et la pureté de l'esprit et du corps, et le jaune qui symbolise la force et l'intelligence (NBM s.d.). Le Nigerian Observer, un journal appartenant au gouvernement de l'État d'Edo (The Nigerian Observer s.d.), cite un communiqué de presse dans lequel le NBM soutient que le logo du NBM a été [traduction] « "plagi[é]" » (The Nigerian Observer 2 oct. 2021).
2. Information indiquant si la Confrérie de la hache noire a recours au recrutement forcé
Des sources affirment que la Confrérie de la hache noire compte environ 30 000 membres (BBC 13 déc. 2021b; NBM s.d.) [traduction] « à l'échelle mondiale » (NBM s.d.).
Selon la BBC, [version française de la BBC] « [c]ertaines recrues sont forcées, d'autres se portent volontaires » (BBC 13 déc. 2021b). Le ministère des Affaires étrangères et du Commerce (Department of Foreign Affairs and Trade – DFAT) de l'Australie attire l'attention sur le fait que des volontaires se joignent aux confréries ou aux sectes parce qu'ils sont [traduction] « motivés par la possibilité de gagner de l'argent et d'acquérir du pouvoir », alors que « certains » s'y joignent à cause de « la pression exercée par leur entourage », de « la menace de représailles ou la protection ainsi obtenue » (Australie 3 déc. 2020, paragr. 3.130).
Au cours d'une entrevue en août 2022 avec le Nigerian Tribune, un journal de langue anglaise du Nigéria, un ancien dirigeant de la Confrérie de la hache noire à Ekpoma dans l'État d'Edo, qui a été arrêté récemment, a raconté qu'il avait accepté de se joindre à la [traduction] « secte » en 2020 parce qu'il voulait apprendre à être un « "Yahoo Boy" » [un [traduction] « [a]rnaqueur » en ligne (Harper's Magazine sept. 2019)], auprès d'un membre plus « "chevronné" » que lui à Ekpoma; l'ancien dirigeant a déclaré que même s'il savait que de telles activités sont illégales, il était prêt à s'y livrer pour subvenir aux besoins de sa mère et de ses frères et sœurs (Nigerian Tribune 30 août 2022). Selon le journal, en plus de cet ancien dirigeant, un étudiant récemment diplômé et des étudiants du premier cycle de la même université figuraient parmi les suspects qui, d'après la police, ont récemment avoué appartenir à la Confrérie de la hache noire (Nigerian Tribune 30 août 2022). L'ancien dirigeant a affirmé qu'il avait été [traduction] « "torturé" » avec un fouet durant son initiation au groupe, qu'il « "n'avait eu aucun autre choix que de [s'y] soumettre entièrement " » et qu'on ne l'avait pas avisé de ce qui arriverait durant l'initiation (Nigerian Tribune 30 août 2022).
Un autre [traduction] « suspect » de la même université que l'ancien dirigeant, interviewé lui aussi dans le cadre de l'article du Nigerian Tribune, a décrit comment il avait été abordé par un membre de la Confrérie de la hache noire, après avoir accédé à la fonction de secrétaire général de sa faculté, et s'était fait dire qu'il était « "intelligent" » et qu'il pourrait devenir « "le président" » (Nigerian Tribune 30 août 2022). D'après cet étudiant, [traduction] « "[i]ls m'ont dit que j'allais les accompagner à une fête et que, par la suite, je deviendrais un membre à part entière, mais j'ai appris plus tard qu'il ne s'agissait pas d'une fête, mais d'un groupe de garçons emmenés dans la brousse pour une initiation. Il n'était pas question que je refuse parce qu'il y a eu des actes de torture graves tout au long de la nuit" » (Nigerian Tribune 30 août 2022).
Au cours d'une entrevue pour un article paru en septembre 2020 dans le Vanguard, un journal du Nigéria, un homme de 23 ans a décrit comment il avait perdu la vue à la suite d'une agression survenue en 2016 à un festival de rue à Ketu dans l'État de Lagos, durant laquelle des membres de la Confrérie de la hache noire l'ont poignardé dans les yeux parce qu'il [traduction] « refusait de se joindre à la Confrérie » (Vanguard 25 sept. 2020). D'après l'article, la victime a raconté qu'un homme qui habitait dans son quartier lui demandait [traduction] « constamment » de se joindre au groupe et la victime a déclaré qu'elle avait été punie « "pour servir d'exemple aux autres" » (Vanguard 25 sept. 2020).
3. Traitement réservé aux personnes qui s'opposent aux adeptes
Parmi les sources qu'elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n'a trouvé aucun renseignement sur le traitement réservé par la Confrérie de la hache noire aux personnes qui s'opposent aux adeptes. Cependant, l'information qui suit pourrait s'avérer utile.
Selon le Vanguard, le chef d'un groupe de la Confrérie de la hache noire dans l'État d'Ogun a avoué que son groupe [traduction] « tuait des rivaux » des autres sectes et « leur coupait les mains » pour se « faire des amulettes de protection » (Vanguard 6 août 2022).
4. Activités au Canada
Le Globe and Mail écrit que, d'après la police, la Confrérie de la hache noire [traduction] « exerce une influence grandissante sur la diaspora nigériane au Canada en plus de se livrer à des activités criminelles organisées – allant de la fraude à l'intimidation, en passant par le blanchiment d'argent » (The Globe and Mail 10 juill. 2018). Le Harper's Magazine signale que le Canada [traduction] « considère la Confrérie de la hache noire comme étant une organisation criminelle officielle » et cite un agent-détective de la police de Toronto, affecté aux dossiers liés à la Confrérie de la hache noire, qui fait remarquer que « plus de 70 p. 100 » des membres de la Confrérie de la hache noire sur lesquels il a enquêté « ont été arrêtés ou déclarés coupables d'un crime » (Harper's Magazine sept. 2019). Par exemple, dans le même article, on peut lire que la police au Canada a fait enquête sur des [traduction] « arnaques amoureuses, par lesquelles de faux admirateurs soutirent de l'argent à des femmes âgées en leur faisant la cour », dirigées par la Confrérie de la hache noire (Harper's Magazine sept. 2019). Selon le Globe and Mail, la Confrérie de la hache noire au Canada [traduction] « se spécialise » dans les « arnaques » et, au dire [du même agent-détective cité ci-dessus], le groupe « tente de maintenir auprès du public l'image d'une organisation animée par l'esprit de bénévolat » (The Globe and Mail 12 nov. 2015). D'après la BBC, en 2017, les autorités au Canada [traduction] « ont démantelé un stratagème de blanchiment d'argent lié à la Confrérie de la hache noire d'une valeur de plus de cinq milliards de dollars » (BBC 13 déc. 2021a). Dans un article paru en 2015, Vice, un magazine et une publication électronique dont le siège est à New York, fait observer que, d'après la police de Toronto, la Confrérie de la hache noire [traduction] « exerce "une influence indue sur la diaspora nigériane" au Canada en plus de se livrer à des activités criminelles organisées et à la violence » (Vice 17 déc. 2015). Selon la même source, en octobre 2015, la police de Toronto a porté des accusations contre trois hommes [traduction] « liés à la Confrérie de la hache noire » qui « auraient escroqué 609 000 dollars à une Torontoise » et, en décembre 2015, la police « a déposé 640 chefs d'accusation additionnels et arrêté 18 autres personnes soupçonnées d'avoir volé plus de 500 VUS, d'une valeur totale d'environ 30 millions de dollars » (Vice 17 déc. 2015).
Cette réponse a été préparée par la Direction des recherches à l'aide de renseignements puisés dans les sources qui sont à la disposition du public, et auxquelles la Direction des recherches a pu avoir accès dans les délais fixés. Cette réponse n'apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d'une demande d'asile. Veuillez trouver ci-dessous les sources consultées pour la réponse à cette demande d'information.
Références
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British Broadcasting Corporation (BBC). 13 décembre 2021a. « Black Axe: Leaked Documents Shine Spotlight on Secretive Nigerian Gang ». [Date de consultation : 9 sept. 2022]
British Broadcasting Corporation (BBC). 13 décembre 2021b. « The Ultra-Violent Cult that Became a Global Mafia ». [Date de consultation : 9 sept. 2022]
British Broadcasting Corporation (BBC). 2 juin 2020. Helen Oyibo. « Nigeria's Campus Cults: Buccaneers, Black Axe and Other Feared Groups ». [Date de consultation : 8 sept. 2022]
Daily Trust. 29 décembre 2021. Abdullateef Salau. « Neo-Black Movement Dissociates Self from Cult Group, Black Axe ». [Date de consultation : 9 sept. 2022]
The Globe and Mail. 10 juillet 2018. Michelle Zilio et Robert Fife. « Immigration Minister Ahmed Hussen Spoke at Venue Known as Criminal Hangout; Spokesman Says Immigration Minister Was Unaware Restaurant Has Been Frequented by Members of the Black Axe Crime Group ». (Factiva) [Date de consultation : 27 oct. 2022]
The Globe and Mail. 12 novembre 2015. Selena Ross. « Shadowy Black Axe Group Leaves Trail of Tattered Lives ». [Date de consultation : 3 oct. 2022]
Harper's Magazine. Septembre 2019. Sean Williams. « The Black Axe: How a Pan-African Freedom Movement Lost Its Way ». [Date de consultation : 9 sept. 2022]
Harper's Magazine. S.d. « About Harper's Magazine ». [Date de consultation : 9 sept. 2022]
Neo Black Movement of Africa (NBM). 6 juillet 2022. « NBM Disassociates Self from July 7 Celebration ». [Date de consultation : 27 oct. 2022]
Neo Black Movement of Africa (NBM). S.d. « History ». [Date de consultation : 21 oct. 2022]
The Nigerian Observer. 2 octobre 2021. Emmanuel Ikhenebome. « Group Disassociates Self from Purported Black Axe Member Who Harassed, Dehumanized Tik Tok User, Set to Take Action ». [Date de consultation : 9 sept. 2022]
The Nigerian Observer. S.d. « About Us ». [Date de consultation : 25 oct. 2022]
Nigerian Tribune. 30 août 2022. Oluwatoyin Malik. « I Joined Cult to Learn "Yahoo" Methods from a Friend in Order to Fend for My Mum, Siblings –Aiye Confraternity Leader ». [Date de consultation : 12 oct. 2022]
Premium Times. 6 juillet 2022. Olasunkanmi Akinlotan et Oluwakemi Adelagun. « Police Battle-Ready as Cultists Prepare "7/7 Day" Celebration ». [Date de consultation : 27 oct. 2022]
Premium Times. 25 janvier 2021. Ieoluwa Adediran. « One Dead, 12 Arrested as Rival Cults Clash in Lagos ». [Date de consultation : 27 oct. 2022]
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Pulse.ng. 8 juillet 2022. Damilare Famuyiwa. « Police Raise Alarm over Cultists' Plan to Celebrate Anniversary ». [Date de consultation : 27 oct. 2022]
Vanguard. 6 août 2022. Evelyn Usman. « We Kill Rivals, Cut Off Their Hands for Rituals – Self-Confessed Cultist ». [Date de consultation : 3 oct. 2022]
Vanguard. 24 janvier 2021. Olasunkanmi Akoni. « Three Feared Dead as Rival Cult Groups Clash Again in Coker-Aguda, Lagos ». [Date de consultation : 27 oct. 2022]
Vanguard. 25 septembre 2020. Evelyn Usman. « How Cultists Blinded Me for Refusing to Join Group ». [Date de consultation : 12 oct. 2022]
Vice. 17 décembre 2015. Tamara Khandaker. « The Notorious Black Axe Has Put Down Roots in Canada ». [Date de consultation : 3 oct. 2022]
Autres sources consultées
Sources orales : chargé d'enseignement supérieur dans une université nigériane dont les études portent sur l'importance des pratiques rituelles au Nigéria; chargé de recherche dans une université américaine dont les études portent sur l'histoire culturelle en Afrique; chercheuse principale dans une université américaine au sein du programme d'études africaines; Neo Black Movement of Africa; Nigéria – Nigeria Police Force; professeur adjoint dans une université au Royaume-Uni dont les études portent sur l'histoire, les villes et la culture africaines; professeur agrégé dans une université américaine dont les études portent sur les sociétés secrètes et la sorcellerie en Afrique; professeur agrégé dans une université américaine dont les études portent sur le terrorisme et les communications, ainsi que sur le symbolisme dans le terrorisme; professeur agrégé dans une université canadienne dont les études portent sur l'histoire africaine; professeur dans une université américaine dont les études portent sur l'anthropologie socioculturelle en Afrique de l'Ouest; professeur dans une université américaine dont les études portent sur les traditions africaines; professeur dans une université américaine dont les études portent sur l'ethnicité, le nationalisme, les formations raciale et urbaine, les élites, l'État et la société civile en Afrique; professeur dans une université américaine dont les études portent sur l'histoire nigériane depuis l'époque précoloniale; professeur dans une université américaine dont les études portent sur l'identité dans l'Afrique contemporaine; professeur dans une université au Royaume-Uni dont les études portent sur les relations raciales et la politique culturelle en Afrique; professeur dans une université nigériane dont les études portent sur la religion et la culture au Nigéria; professeur dans une université nigériane dont les études portent sur le maintien de l'ordre, le crime organisé et la sociologie; professeur dans une université nigériane dont les études portent sur les études culturelles; professeur dans une université nigériane dont les études portent sur les pratiques traditionnelles et culturelles africaines; professeur dans une université nigériane dont les études portent sur l'identité et l'histoire en Afrique; professeur d'études africaines dans une université au Royaume-Uni; professeur d'études africaines et d'études sur la diaspora africaine dans une université américaine; professeure émérite d'anthropologie culturelle africaine dans une université au Royaume-Uni dont les études portent sur la culture populaire et la religion.
Sites Internet, y compris : Africa Confidential; African Arguments; African Examiner; Al Jazeera; Aljazirah Nigeria; Amnesty International; Austrian Red Cross – ecoi.net; Banque mondiale; Belgique – Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides; Bertelsmann Stiftung; Brookings Institution; Buzz Nigeria; TheCable; Center for Strategic and International Studies; Channels Television; CKN News; Concise News; Council on Foreign Relations; The Daily Champion; Daily Nigerian; Daily Review Online; Economic Confidential; Elevate News Nigeria; Elombah News; ENigeria Newspape; États-Unis – Department of State, Library of Congress; Federal Radio Corporation of Nigeria; Fédération internationale pour les droits humains; France – Office français de protection des réfugiés et apatrides; Freedom House; The Fund for Peace; GhanaWeb; The Guardian [Nigeria]; The Guardian [UK]; The Herald [Nigeria]; Human Rights Watch; InfoGuide Nigeria; InfoStride News; Institute for War and Peace Reporting; International Crisis Group; INTERPOL; Leadership; Legit.ng; Médecins sans frontières; Metro Daily Nigeria; Metrotimes; Metrowatch; Minority Rights Group International; Naija News; Nations Unies – Haut-Commissariat aux droits de l'homme, ONU Femmes, Organisation mondiale de la santé, PNUD, Refworld; The New Humanitarian; news24; NewsDay; News Agency of Nigeria; Nigéria – National Human Rights Commission; Nigeria Watch; Nigerian Television Authority; Norvège – Landinfo; Okay.ng; Organisation suisse d'aide aux réfugiés; Orient Daily; Pays-Bas – Ministry of Foreign Affairs; People's Daily; Peoples Gazette; Pointblank News; The Punch; Radio Free Asia; Radio Free Europe/Radio Liberty; Realnews Magazine; Reporters sans frontières; Republican Nigeria; Ripples Nigeria; Royaume-Uni – Home Office; Sahara Reporters; Sowetan Live; SPY Nigeria; The Sun; This Day; TimesLIVE; Transparency International; Union européenne – European Union Agency for Asylum Voice of Nigeria; Wilson Center.