Réponses aux demandes d'information

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22 août 2013

CMR104550.F

Cameroun : information sur l'Union des populations du Cameroun (UPC), y compris sur sa structure et sur son importance sur la scène politique; traitement réservé à ses membres par les autorités (2011-août 2013)

Direction des recherches, Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada, Ottawa

1. Aperçu

L'UPC est un parti politique d'opposition au Cameroun (Aurore Plus 9 août 2013; PHW 2012, 225; International Crisis Group 25 mai 2010, 15). L'UPC a été fondée en 1948 (Aurore Plus 9 août 2013; PHW 2012, 226). Le Political Handbook of the World 2012 (PHW) décrit l'UPC comme un parti [traduction] « marxiste-léniniste » (ibid.). L'UPC a été proscrit en 1955, mais a continué à opérer dans la clandestinité pendant une trentaine d'années (Aurore Plus 9 août 2013; PHW 2012, 226; Journal du Cameroun 24 oct. 2011). D'après le Political Handbook, au cours de cette période de clandestinité, l'UPC est devenue [traduction] « le plus important des groupes d'opposition au régime à parti unique du Cameroun » (PHW 2012, 226).

Le parti a été légalisé de nouveau en 1991 (PHW 2012, 226; Journal du Cameroun 24 oct. 2011). Le Political Handbook explique que seul le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), le parti du président camerounais Paul Biya, au pouvoir en 2012, avait un statut légal dans le pays de 1966 à 1991, jusqu'à ce que l'existence d'autres partis soit légalement autorisée à partir de décembre 1990 (PHW 2012, 225-226).

2. Structure

Il existe plusieurs factions au sein de l'UPC (Aurore Plus 9 août 2013; PHW 2012, 226-227; Le Messager 16 janv. 2013). Certaines sources appellent ces diverses factions des « tendances » du parti (MboaNews 12 sept. 2012; Le Messager 18 janv. 2012; Jeune Afrique 3 oct. 2011).

2.1 UPC-Ntumazah

Le parti s'est divisé en 1992 entre une faction dirigée par Augustin Frédéric Kodock, le secrétaire général du parti, et une autre dirigée par Ndeh Ntumazah (PHW 2012, 226; Bonaberi 26 oct. 2011). Selon le Political Handbook, Ndeh Ntumazah était [traduction] « le dernier survivant des fondateurs de l'UPC » (PHW 2012, 226). D'après Bonaneri, un site d'information sur le Cameroun, la faction dirigée par Augustin Frédéric Kodock était décrite comme « modérée », tandis que celle de Ndeh Ntumazah était considérée comme « plus radicale » (Bonaberi 26 oct. 2011). Selon le Political Handbook, la faction dirigé par Ndek Ntumazah voulait boycotter les élections législatives de 1992, tandis que celle d'Augustin Frédéric Kodock y a participé (PHW 2012, 226). Cependant, selon Bonaberi, le fractionnement a été causé par la décision d'Augustin Frédéric Kodock de ne pas se présenter comme candidat à la présidence et de donner son appui à Paul Biya lors des élections présidentielles de cette année-là (Bonaberi 26 oct. 2011). De son côté, l'International Crisis Group affirme que l'UPC s'est divisée entre « l'opportuniste Augustin Kodock et Ndeh Ntumazah, plus âgé et plus fidèle aux principes » du parti (25 mai 2010, 15). D'après le quotidien camerounais Cameroon Tribune, Ndeh Ntumazah est mort en janvier 2010 et a eu droit à des funérailles d'État en raison de son rôle comme militant s'étant battu pour l'unification et l'indépendance du Cameroun (Cameroon Tribune 5 avr. 2010). Le Cameroon Tribune le décrivait alors comme ayant été [traduction] « le président national » de l'UPC, mais note que sa famille n'a pas permis au secrétaire général du parti, Augustin Frédéric Kodock, de s'exprimer lors des funérailles, les deux hommes n'ayant pas été en contact depuis des années (ibid.).

Parmi les sources qu'elle a consultées, la Direction des recherches n'a pas trouvé d'autre d'information au sujet de cette faction.

2.2 UPC Kodock

L'une des factions est surnommée UPC(K) (CamerounActu 17 janv. 2012; PHW 2012, 227; Jeune Afrique 3 oct. 2011). Selon le quotidien camerounais Le Messager, cette faction est une tendance que certains désignent comme étant « gouvernementale » (18 janv. 2012). Cette faction a été dirigée par Augustin Frédéric Kodock jusqu'à sa mort en octobre 2011 (Bonaberi 26 oct. 2011; Journal du Cameroun 24 oct. 2011). Selon le Journal du Cameroun, c'est lui qui aurait travaillé pour la re-légalisation de l'UPC en 1991 (ibid.). Il a été élu secrétaire général de l'UPC en 1991 (African Success 7 nov. 2008). Il a conservé ce titre jusqu'à son décès (Bonaberi 26 oct. 2011; Journal du Cameroun 24 oct. 2011).

Des sources signalent qu'Augustin Frédéric Kodock s'est allié au président Paul Biya et à son parti pendant plusieurs années et a occupé plusieurs postes de ministre dans les gouvernements successifs de celui-ci (PHW 2012, 227; Bonaberi 26 oct. 2011; Journal du Cameroun 24 oct. 2011). Augustin Frédéric Kodock s'est vu retirer son poste de ministre en septembre 2007 (PHW 2012, 227; African Success 7 nov. 2008). D'après Bonaberi, il aurait alors « tourné le dos » à son alliance avec le parti du président Biya (Bonaberi 26 oct. 2011). Selon deux sources, certains ont pensé que cette exclusion aurait été décidée en raison du déclin de ses appuis (Bonaberi 26 oct. 2011; African Success 7 nov. 2008). Le Political Handbook déclare toutefois qu'Augustin Frédéric Kodock a été rayé du cabinet en raison d'allégations de détournement de fonds au sein de son ministère (PHW 2012, 227).

Des sources signalent qu'Augustin Frédéric Kodock aurait tenté de se présenter comme candidat à la présidence en 2011, mais que sa candidature aurait été rejetée (Bonaberi 26 oct. 2011; Journal du Cameroun 24 oct. 2011; Jeune Afrique 3 oct. 2011). Selon Jeune Afrique, il aurait subséquemment donné son appui au candidat présidentiel de l'Union démocratique du Cameroun plutôt qu'au candidat du MANIDEM, une faction de l'UPC (3 oct. 2011).

2.3 UPC Hogbe Nlend

Une autre faction est celle dirigée par Henri Hogbe Nlend (Le Messager 18 janv. 2012; PHW 2012, 226-227). Celle-ci est surnommée UPC(N) (ibid.) ou UPC (H) (L'Actu 24 janv. 2012; Mutations 19 janv. 2012; CamerounActu 17 janv. 2012). Selon Le Messager, certains considèrent l'UPC(N) comme de tendance « gouvernementale » (18 janv. 2012). Le Political Handbook fournit l'information qui suit au sujet de l'UPC(N) (PHW 2012, 226-227) : L'UPC se serait fragmentée une autre fois en 2001 en une faction dirigée par Augustin Frédéric Kodock et une autre faction dirigée par Henri Hogbe Nlend, le candidat présidentiel du parti en 1992 et 1997, lequel aurait reçu un poste de ministre dans le gouvernement à la suite des élections présidentielles de 1997. La faction dirigée par Augustin Frédéric Kodock aurait commencé à s'opposer de plus en plus au président Paul Biya, tandis que celle dirigée par Henri Hogbe Nlend aurait continué à soutenir le président Biya. Lors d'élections législatives en 2002, l'agence électorale du Cameroun aurait traité les deux factions comme un seul parti; les candidats se seraient toutefois présentés comme candidats de l'UPC(K), pour la faction dirigée par Augustin Frédéric Kodock, ou de l'UPC(N), pour celle dirigée par Henri Hogbe Nlend. Cependant, le Political Handbook signale que l'UPC(N) se serait jointe à une coalition de partis politiques cherchant à présenter un candidat unique contre le président Biya lors des élections présidentielles de 2004.

2.4 UPC « des fidèles »

Une autre faction de l'UPC est celle dite « des fidèles » (Cameroon Tribune 3 avr. 2013; Aurore Plus 9 août 2013; Le Messager 16 janv. 2013). D'après Le Messager, cette faction « se réclame de la posture originelle des pères fondateurs » de l'UPC (ibid.). Selon le quotidien camerounais Aurore Plus, cette faction défend l'idée qu'Augustin Frédéric Kodock aurait créé un nouveau parti à qui le gouvernement camerounais aurait illégitimement donné un statut légal même si l'ancienne UPC existait toujours (9 août 2013). Des médias signalent que les dirigeants de cette faction jugent que la faction proche d'Auguste Frédéric Kodock est proche du gouvernement (ibid.; MboaNews 12 sept. 2012). MboaNews, un site Internet traitant de l'actualité au Cameroun, note également que la faction des fidèles a déjà fait l'objet d'une poursuite de la part de la faction Kodock pour usurpation du sigle de l'UPC (ibid.).

Des sources signalent qu'en 2013, le secrétaire général de l'UPC des fidèles était Albert Moutoudou [ou Motoundou] (Aurore Plus 9 août 2013; MboaNews 27 février 2013), alors qu'Alexis Ndema Same en était le président (Aurore Plus 9 août 2013). Jusqu'en 2011, cette faction était présidée par Samuel Mack-Kit (Cameroon Tribune 3 avr. 2013; MboaNews 25 août 2011).

2.5 MANIDEM

Un autre groupe lié à l'UPC est le Mouvement africain pour la nouvelle indépendance et la démocratie (MANIDEM) (Le Messager 16 janv. 2013; PHW 2012, 229; Europa World s.d.). D'après Europa World, le MANIDEM, aurait [traduction] « anciennement » été une faction de l'UPC (ibid.). L'International Crisis Group signale que le parti était autrefois connu sous le nom de l'UPC-MANIDEM (25 mai 2010, 22). Selon le Political Handbook, il serait composé d'anciens membres de l'UPC (PHW 2012, 229). D'après l'International Crisis Group, le MANIDEM maintient « la tradition radicale de l'UPC, sans pour autant être autoris[é] par la justice à utiliser son nom » (25 mai 2010, 22). Certaines sources signalent que le MANIDEM serait dirigé par (Pierre) Abanda Kpama (Le Messager 16 janv. 2013; Europa World s.d.). Cependant, dans son édition de 2012, le Political Handbook affirmait qu'Anicet Ekanè dirigeait ce parti (PHW 2012, 229). Selon African Elections Database, une base de données qui rassemble les résultats électoraux de pays d'Afrique sub-saharienne recueillis auprès de diverse sources (African Elections Database s.d.), Anicet Ekanè était le candidat présidentiel du MANIDEM lors des élections présidentielles de 2011 (African Elections Database 25 mars 2012).

2.6 Tentatives de rapprochement et nouvelles divisions

Des tentatives ont été faites par des membres de diverses factions de l'UPC afin de tenter de réunifier le parti (Cameroon Tribune 21 mars 2012; CamerounActu 17 janv. 2012; L'Actu 24 janv. 2012). Le 17 janvier 2012, des factions de l'UPC se seraient rassemblées pour une réunion à Yaoundé dont le but déclaré était de « "de parachever le processus de rassemblement et d'unification du mouvement" » (cité dans L'Actu 24 janv. 2012). En particulier, des sources signalent qu'Henri Hogbe Nlend aurait fait parti de ces efforts de rassemblement (Cameroon Tribune 21 mars 2012; L'Actu 24 janv. 2012) Des sources signalent toutefois que l'UPC des fidèles n'a pas participé à ces tentatives de rapprochement (MboaNews 12 sept. 2012; Le Messager 17 juill. 2013; Cameroon Tribune 21 mars 2012).

Cependant, de nouvelles divisions sont apparues au sein de la faction Kodock à la suite du décès de celui-ci (La Nouvelle Expression 14 mars 2013; Cameroon Tribune 21 mars 2012; CamerounActu 17 janv. 2012). Selon des médias, trois sous-factions distinctes de l'UPC ont présenté leurs propres listes de candidats pour les élections sénatoriales d'avril 2013 (Mutations 19 mars 2013; Cameroon Tribune 18 mars 2013). Il s'agirait de l'UPC-Ouandji, l'UPC Bapooh et l'UPC Papy Ndoumbe (ibid.; Mutations 19 mars 2013).

Selon le quotidien camerounais La Nouvelle Expression, parmi cinq factions existantes de l'UPC, trois factions du parti qui avaient présenté des listes de candidats, ont vu celles-ci rejetées par l'agence électorale et le conseil constitutionnel du pays (12 juill. 2013).

Des médias signalent toutefois que diverses sous-factions se sont mises d'accord afin de présenter conjointement une liste de candidats aux élections municipales et législatives prévues pour septembre 2013 (Le Messager 17 juill. 2013; La Nouvelle Expression 12 juillet 2013; Le Jour 5 juill. 2013). Selon des médias, les dirigeants de ces sous-factions sont arrivés à se mettre d'accord avec le soutien du ministre de l'Administration territoriale et de la Décentralisation (Le Messager 17 juill. 2013; Le Jour 5 juill. 2013).

3. Importance de l'UPC sur la scène politique

Des sources mentionnent que l'UPC ne détenait aucun siège au sein de l'Assemblée nationale en 2012 (La Nouvelle Expression 12 juill. 2013; Mutations 19 janv. 2012). Lors des élections législatives de 2007, le parti a perdu les 3 sièges qu'il détenait depuis les élections législative de 2002 (African Elections Database 25 mars 2012). Selon le site d'information Cameroon-Info.Net, aucune faction de l'UDP n'a obtenu de siège lors des élections sénatoriales d'avril 2013 (Cameroon-Info.Net 29 avr. 2013).

L'Actu, un portail d'information camerounais, déclare que l'UPC « a davantage fait parler [d'elle] dans la rubrique des faits divers plutôt que par la force de ses propositions ou encore [par] une véritable animation du jeu politique national où [elle] aspire à jouer les premiers rôles » (24 janv. 2012). Le Journal du Cameroun affirme que le parti a été « min[é] » par les « guerres intestines », ajoutant que les diverses factions du parti qui ont vu le jour lui ont fait « perdre du crédit » (24 oct. 2011). D'après Jeune Afrique, des militants auraient blâmé Augustin Frédéric Kodock pour « la perte de prestige de l'UPC » qui résulterait de sa participation dans des gouvernements du président Biya (Jeune Afrique 3 oct. 2011).

4. Traitement réservé aux membres de l'UPC par les autorités

Parmi les sources qu'elle a consultées, la Direction des recherches a trouvé peu d'information sur le traitement réservé aux membres des diverses factions de l'UPC au Cameroun.

Des médias signalent que le président et le secrétaire général de la faction « des fidèles » de l'UPC ont été arrêtés en février 2013 alors qu'ils manifestaient contre l'agence électorale du Cameroun (Aurore Plus 9 août 2013; Le Messager 27 févr. 2013; MboaNews 27 févr. 2013). Selon les sources, ils auraient été accusés d'avoir organisé une manifestation illégale (Aurore Plus 9 août 2013; MboaNews 27 févr. 2013) et d'avoir troublé l'ordre public (MboaNews 27 févr. 2013). Selon Aurore Plus, les accusés affirment toutefois qu'ils avaient avisé les autorités de la tenue de leur manifestation, conformément à la loi (Aurore Plus 9 août 2013). Aurore Plus ajoute que les deux accusés demeurent libres sous « caution morale » en attendant leur prochaine audience devant un juge en octobre 2013 (ibid.).

Cette réponse a été préparée par la Direction des recherches à l'aide de renseignements puisés dans les sources qui sont à la disposition du public, et auxquelles la Direction des recherches a pu avoir accès dans les délais fixés. Cette réponse n'apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d'une demande d'asile. Veuillez trouver ci-dessous les sources consultées pour la réponse à cette demande d'information.

Références

L'Actu. 24 janvier 2012. Bertille Missi Bikoun. « UPC : Papy Ndoumbe et Hogbe Nlend désignés porte-parole ». [Date de consultation : 21 août 2013]

African Elections Database. 25 mars 2012. « Elections in Cameroon ». [Date de consultation : 19 août 2013]

African Elections Database. S.d. « About the Database ». [Date de consultation : 22 août 2013]

African Success. 7 novembre 2008. « Biography of Augustin Frédéric Kodock ». [Date de consultation : 16 août 2013]

Aurore Plus. 9 août 2013. Linda Mbiapa. « Cameroun - Procès Union des Populations du Cameroun (UPC) : Les réquisitions du Ministère public attendues le 7 octobre ». [Date de consultation : 13 août 2013]

Bonaberi. 26 octobre 2011. « Cameroun : Augustin Frédéric Kodock n'est plus ». [Date de consultation : 16 août 2013]

CamerounActu. 17 janvier 2012. Michel Biem Tong. « Upc : Le parti tente de recoller ses morceaux ». [Date de consultation : 22 août 2013]

Cameroon-Info.Net. 29 avril 2013. Valentine Mulango. « Cameroon: Here Are the Results of the First Ever Senatorial Election ». [Date de consultation : 19 août 2013]

Cameroon Tribune. 3 avril 2013. « Samuel Mack-Kit est mort ». (Factiva/AllAfrica).

Cameroon Tribune. 18 mars 2013. « Le moment de vérité à l'UPC ». (Factiva/AllAfrica)

Cameroon Tribune. 21 mars 2012. « Des upécistes contestent le congrès de Douala ». [Date de consultation : 21 août 2013]

Cameroon Tribune. 5 avril 2010. Emmanuel Kendemeh. « Ndeh Ntumazah's Thanks President Paul Biya ». [Date de consultation : 19 août 2013]

Europa World. S.d. « Mouvement africain pour la nouvelle indépendance et la démocratie (MANIDEM) ». [Date de consultation : 19 août 2013]

International Crisis Group. 25 mai 2010. Cameroun : état fragile? Rapport Afrique n° 160. [Date de consultation : 13 août 2013]

Jeune Afrique. 3 octobre 2011. Clarisse Juompan. « Cameroun : les grands absents de la présidentielle ». [Date de consultation : 13 août 2013]

Le Jour. 5 juillet 2013. Claude Tadjon. « Bapooh Lipot : "une seule liste UPC aux élections" ». [Date de consultation : 13 août 2013]

Journal du Cameroun. 24 octobre 2011. Idriss Linge et Ingrid Alice Ngounou. « Cameroun : Augustin Frederick Kodock est décédé ». [Date de consultation : 16 août 2013]

MboaNews. 27 février 2013. « Deux militants de l'UPC aux arrêts ». [Date de consultation : 19 août 2013]

MboaNews. 12 septembre 2012. « L'UPC dite des Fidèles refuse la réconciliation ». [Date de consultation : 22 août 2013]

MboaNews. 25 août 2011. William Tchango. « L'UPC réitére sa non participation aux élections présidentielles 2011 ». [Date de consultation : 16 août 2013]

Le Messager. 17 juillet 2013. Rodigue N. Tongue. « Dissension à l'UPC : René Sadi coupe la poire en quatre ». [Date de consultation : 21 août 2013]

Le Messager. 27 février 2013. Blaise-Pascal Dassié. « Cameroun. Marche de protestation : La gendarmerie saute sur les dirigeants de l'Upc ». [Date de consultation : 16 août 2013]

Le Messager. 16 janvier 2013. Joseph Olinga. « Commémoration : La mémoire d'Ernest Ouandie divise les "UPC" ». [Date de consultation : 16 août 2013]

Le Messager. 18 janvier 2012. Jean-François Channon. « Cameroun : l'unité des Upécistes à l'épreuve de la division ». [Date de consultation : 21 août 2013]

Mutations. 19 mars 2013. « Élections sénatoriales - Guerre des chefs à l'UPC ». (Factiva/AllAfrica)

Mutations. 19 janvier 2012. « UPC : le sursaut du crabe? ». [Date de consultation : 21 août 2013]

La Nouvelle Expression. 12 juillet 2013. Serge-Lionel Nnanga. « Point de vue: La caution UPC ». [Date de consultation : 21 août 2013]

La Nouvelle Expression. Yannick Mbazoa. 14 mars 2013. « Sénatoriales 2013 : l'UPC dans la tourmente ». [Date de consultation : 21 août 2013]

Political Handbook of the World (PHW) 2012. 2012. « Cameroun », pp. 221-231. Sous la direction de Tom Lansdorf. Washington, DC : CQ Press. [Date de consultation : 13 août 2013]

Autres sources consultées

Sites Internet, y compris : Afrique Index; AllAfrica.com; Amnesty International; Cairn.info; Camer.be; Cameroon News; Cameroon Voice; Cameroon Web News; Cameroun Actualité; Cameroun Link; Cameroun-online.com; Elections Cameroon; Etats-Unis – Department of State; ecoi.net; Fédération internationale des ligues des droits de l'homme; Freedom House; Human Rights Watch; Nations Unies – Refworld, Réseaux d'information régionaux intégrés; Pambazuka News.



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