Rapport sur les résultats ministériels 2017-2018 - Partie III

Erratum

À la suite du dépôt au Parlement et de la publication en ligne du Rapport sur les résultats ministériels (RRM) 2017-2018, le tableau de renseignement supplémentaire suivant a été omis dans la version PDF :

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Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada

La version originale a été signée par
L’honorable Ahmed Hussen
Ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté


© Sa Majesté la Reine du chef du Canada,
représentée par le ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, 2018
ISSN 2561-0767

Ce document est disponible en médias substituts sur demande.

Table des matières

Message de l’administrateur général

Aperçu de nos résultats

Raison d’être, mandat et rôle : composition et responsabilités

Contexte opérationnel et principaux risques

Résultats : ce que nous avons accompli

Analyse des tendances en matière de dépenses et de ressources humaines

Renseignements supplémentaires

Annexe : définitions


Message de l’administrateur général

La Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada (CISR) a dû faire face à d’importants défis en 2017-2018. Les conflits armés et les changements géopolitiques dans le monde ont contribué à la hausse sans précédent du nombre de demandes d’asile présentées au Canada, alors que l’arriéré décroissant, mais toujours important, des appels en matière d’immigration a causé des retards dans les temps de traitement à la Section d’appel de l’immigration (SAI).

Ce contexte opérationnel a amené la CISR à établir les deux priorités stratégiques suivantes en 2017-2018 pour la période quadriennale se terminant en mars 2021 :

  1. Limiter la croissance des arriérés touchant les demandes d’asile
  2. Réduire l’arriéré des appels en matière d’immigration

Au cours de l’exercice, d’importants progrès ont été réalisés eu égard aux deux priorités.

Limiter la croissance des arriérés touchant les demandes d’asile

Grâce à des stratégies novatrices et à de nouvelles approches expérimentales, la CISR a augmenté de 52 p. 100 le nombre de demandes d’asile réglées en 2017-2018, comparativement à l’exercice précédent. Ce gain en matière de cas réglés a été obtenu sans compromettre en rien la qualité des processus et des décisions de la CISR. En outre, l’équipe spéciale responsable des anciens cas, chargée de régler le reste des anciennes demandes d’asile (soit les demandes d’asile déférées avant décembre 2012), a progressé à un rythme plus rapide que prévu, ce qui a permis à la CISR de clôturer l’exercice en avance sur le calendrier.

Malgré ces résultats favorables, l’afflux soutenu du nombre de cas à la Section de la protection des réfugiés (SPR) et à la Section d’appel des réfugiés (SAR) a dépassé la capacité des sections de régler les cas en temps opportun, ce qui a entraîné une nouvelle croissance de l’arriéré des cas et des temps d’attente, tant à la SPR qu’à la SAR. En conséquence, la CISR a reçu, plus tôt cette année, dans le cadre du budget de 2018, un financement temporaire supplémentaire de 74 millions de dollars.

Réduire l’arriéré des appels en matière d’immigration

L’innovation, la détermination et le travail acharné ont joué un rôle crucial dans la réduction considérable de l’arriéré des appels en matière d’immigration à la SAI. En réduisant de 22 p. 100 son arriéré, la SAI était sur la bonne voie à la fin de la période de référence; elle devrait éliminer l’ensemble de son arriéré au cours du prochain exercice. Ces résultats permettront ultérieurement à la Section de se concentrer sur les cas en attente de traitement et d’assurer l’utilisation entière et efficace de ses ressources, tout en veillant à régler plus de cas en temps opportun pour les parties.

Récemment nommé président de la CISR, j’ai été impressionné par l’engagement et le dévouement dont font preuve les membres du personnel de la Commission. Le financement supplémentaire reçu par la CISR dans le cadre du budget de 2018 lui permettra d’embaucher d’autres décideurs et membres du personnel de soutien à la SPR et à la SAR de manière à ce que la Commission puisse régler plus de cas et réduire le rythme de croissance de l’arriéré touchant les demandes d’asile du niveau qu’il pourrait atteindre. Cela étant dit, il reste à faire beaucoup de travail. Je suis donc impatient de poursuivre notre travail avec le gouvernement et les intervenants afin de trouver des solutions aux défis qui touchent le système d’octroi de l’asile du pays et de positionner la CISR sur la voie de la réussite à long terme.

La version originale a été signée par

Richard Wex
Président


Aperçu de nos résultats

Aperçu des résultats de l'organisation 

[Format alternatif]

L'image illustre un diagramme représentant un aperçu des résultats de la Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada (CISR).
Le diagramme est séparé en trois sections principales.
La section supérieure représente trois cercles contenant l'information suivante :

  • Fonds utilisés 131 692 384 $
  • 1 057 ETP
  • 49 800 décisions rendues

La section centrale représente un cercle avec un diagramme à barres contenant l'information suivante :

  • 49 800 cas réglés en 2017-2018, ce qui correspond à une hausse de 23 p. 100 comparativement à l’exercice 2016-2017.
  • 75 200 cas reçus en 2017-2018, ce qui correspond à une hausse de 48 p. 100 comparativement à l’exercice 2016-2017.
  • 66 500 cas en instance en 2017-2018, ce qui représente une hausse de 63 p. 100 comparativement à l’exercice 2016-2017.

La section inférieure représente un cercle détaillant les principaux résultats atteints par la CISR :

  • Nombre accru de cas réglés : La CISR a réglé 49 800 cas en 2017-2018 dans l’ensemble de ses sections, soit une hausse de 9 300 cas ou de 23 p. 100 par rapport à l’exercice 2016-2017.
  • Gestion du temps d’attente : En 2017-2018, le temps d’attente anticipé relatif aux appels en matière d’immigration est passé de 20 mois à 14 mois. Au cours de la même période, à la suite d’une augmentation du nombre de demandes d’asile déférées, le temps d’attente anticipé relatif aux demandes d’asile a augmenté, passant de 16 mois à 19 mois. Au nom de la justice naturelle et de l’intégrité du système, la CISR a réaffecté ses ressources afin de s’attaquer aux demandes d’asile les plus anciennes faisant partie de son arriéré.
  • Gains d’efficacité par l’innovation : La SPR et la SAR ont poursuivi la simplification de leurs processus pour maximiser le nombre de cas réglés sans sacrifier l’équité, alors que la SAI a réduit les retards dans les premières étapes du processus d’appel en instaurant des stratégies novatrices de gestion des cas.
  • Initiatives à l’appui : La volonté de la Commission d’offrir un milieu de travail de qualité, en partie par l’engagement et la communication ouverte et opportune avec tout le personnel, a contribué à créer un milieu de travail plus sain, plus inclusif et plus coopératif à la CISR. Grâce à cette initiative, nous avons atteint nos résultats de fin d’exercice. L’amélioration continue au moyen d’initiatives axées sur la gestion allégée, telles que l’amélioration des processus opérationnels, a appuyé la planification stratégique des charges de travail, la détermination de gains d’efficacité dans le traitement des cas et la gestion du changement pour les décideurs et le personnel de soutien.

Pour en savoir plus sur les plans, les priorités et les résultats atteints de l’organisation, consultez la section « Résultats : ce que nous avons accompli » du présent rapport.


Raison d’être, mandat et rôle : composition et responsabilités

Raison d'être

La mission de la Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada (CISR) consiste à régler, de manière efficace, équitable et conforme à la loi, au nom des Canadiens, les cas d’immigration et de statut de réfugié.

Mandat et rôle

Par l’intermédiaire de ses quatre sections, la Commission tranche les questions relatives aux demandes d’asile et à l’admissibilité en matière d’immigration, notamment les appels, et examine les cas des demandeurs d’asile et des immigrants qui sont détenus :

Section de la protection des réfugiés (SPR)

  • Statue sur les demandes d’asile
  • Statue sur les demandes d’annulation de la qualité de réfugié (annulation du statut de protection en raison de présentations erronées sur un fait ou de réticence sur ce fait)
  • Statue sur les demandes de perte de l’asile (fin du statut de protection si cette dernière n’est plus nécessaire)
  • Statue sur les examens des risques avant renvoi (mise en vigueur reportée et déterminée par décret)

Section d’appel des réfugiés (SAR)

  • Lorsque le droit d’appel est exercé, instruit les appels interjetés contre les décisions de la SPR d’accueillir ou de rejeter une demande d’asile

Section de l’immigration (SI)

  • Effectue des enquêtes sur des étrangers ou des résidents permanents qui demandent à entrer au Canada ou qui s’y trouvent déjà et seraient interdits de territoire
  • Contrôle les motifs de détention d’étrangers ou de résidents permanents détenus pour des raisons d’immigration

Section d’appel de l’immigration (SAI)

  • Statue sur les appels interjetés contre le refus, par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), de délivrer des visas de résident permanent dans le cadre de demandes de parrainage au titre de la catégorie du regroupement familial
  • Statue sur les appels interjetés contre certaines mesures de renvoi prises à l’égard de résidents permanents, de réfugiés au sens de la Convention, d’autres personnes protégées et de titulaires d’un visa de résident permanent
  • Statue sur les appels interjetés par des résidents permanents au sujet desquels un agent d’IRCC, hors du Canada, a conclu qu’ils avaient manqué à l’obligation de résidence
  • Statue sur les appels interjetés par le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile contre des décisions rendues par la SI au terme d’une enquête

Pour obtenir de plus amples renseignements généraux au sujet de l’organisation, consulter la section « Renseignements supplémentaires » du présent rapport.


Contexte opérationnel et principaux risques

Contexte opérationnel

Au cours de l’exercice 2017-2018, les conflits armés, l’instabilité politique et d’autres facteurs mondiaux ont poussé un nombre record de personnes à venir au Canada et à se présenter dans les salles d’audience de la CISR pour demander l’asile. Cet afflux de nouvelles demandes d’asile a surpassé la capacité financée de la Commission de traiter ces cas en temps opportun. La CISR s’est concentrée sur la gestion de sa charge de travail, tout en limitant la croissance accrue de l’arriéré existant à la SPR et à la SAR. Malgré les importantes contraintes de son contexte opérationnel, la CISR a fait d’importants progrès quant à l’une de ses priorités stratégiques : réduire l’arriéré des appels en matière d’immigration. La CISR est aussi parvenue à réduire plus rapidement que prévu les anciennes demandes d’asile (soit les demandes d’asile déférées avant décembre 2012).

Principaux risques

Le règlement des demandes d’asile en temps opportun a été l’un des deux principaux risques relevés pour la CISR en 2017-2018. Ce risque découlait du nombre sans précédent de demandes d’asile déférées et de la croissance continue des demandes d’asile en instance, qui ont contribué à prolonger les temps de traitement à la SPR. Des stratégies d’atténuation, telles la mise en œuvre d’une approche novatrice de gestion des cas, ont donné des résultats favorables, notamment un nombre accru de demandes d’asile réglées, mais n’ont pas permis d’enrayer la croissance des cas en instance.

La prestation de soutien efficace par les services internes représentait aussi un risque élevé pour la CISR. La vaste portée des exigences du programme en ce qui concerne la mise au point d’un système électronique novateur de gestion des cas posait un défi pour les services internes. La CISR a atténué ces risques en suivant de près les mesures des serveurs essentiels et les demandes au fournisseur de service afin de cerner les limites.

Il est important pour les parties aux procédures de la Commission et la population canadienne en général que la CISR réussisse à atténuer ces risques. Plus le temps de traitement est long, plus les demandeurs d’asile et les appelants demeurent incertains quant à leur avenir et les problèmes liés à l’intégrité du programme surgissent.

Les détails et les résultats de ces stratégies d’atténuation sont exposés dans le tableau qui suit.

RisquesStratégie d’atténuation et efficacitéLien aux programmes de l’organisationLien aux priorités organisationnelles

Capacité de la SPR de régler les cas en temps opportun

Il y a un risque que l’organisation ne puisse pas régler les demandes d’asile dans des délais raisonnables ou gérer les cas en instance en temps opportun.

Stratégie

  • Optimiser la gestion des cas et la simplification des procédures
  • Mener des projets pilotes dans tous les bureaux régionaux pour accroître l’efficacité et la qualité du processus décisionnel
  • Embaucher de nouveaux décideurs

Efficacité

  • Hausse de 52 p. 100 du nombre de cas réglés en 2017-2018
  • Les trois quarts de la hausse sont attribuables aux gains d’efficacité réalisés dans la gestion des cas et aux projets pilotes menés dans les bureaux régionaux
  • Un quart de la hausse est attribuable aux ressources supplémentaires (dotation)
  • Protection des réfugiés
  • Limiter la croissance des arriérés touchant les demandes d’asile

Capacité des services internes d’appuyer les programmes

Il y a un risque que les services internes n’aient pas la capacité d’appuyer les systèmes de gestion des cas et d’échange de renseignements nécessaires pour aider la Commission à régler les cas en temps opportun.

Stratégie

  • Renforcer la communication et les relations avec les intervenants internes et externes pour veiller au respect des priorités de la Commission
  • Communiquer les exigences et définir les rôles et les responsabilités à la Commission pour appuyer les changements technologiques et procéduraux
  • Augmenter la surveillance des demandes aux fournisseurs de service et des mesures de rendement des serveurs essentiels
  • Mettre en place une structure de gouvernance pour signaler les problèmes cruciaux à la haute direction dans le but de les résoudre

Efficacité

  • Les intervenants ont une meilleure compréhension des priorités et des besoins en service de la Commission, ce qui a contribué à faire avancer la création d’un système électronique de gestion des cas
  • A contribué à une meilleure compréhension des rôles et des responsabilités, à une gestion plus solide du changement et à l’amélioration du soutien aux employés
  • A obtenu l’équipement nécessaire auprès d’un fournisseur de service distinct pour appuyer la gestion de la charge de travail
  • Protection des réfugiés
  • Appels des réfugiés
  • Enquêtes et contrôles des motifs de détention
  • Appels en matière d’immigration
  • Services internes
  • Limiter la croissance des arriérés touchant les demandes d’asile
  • Réduire l’arriéré des appels en matière d’immigration

Résultats : ce que nous avons accompli

Programmes

1.1 Protection des réfugiés

Description

La Section de la protection des réfugiés (SPR) exerce le programme Protection des réfugiés de la CISR. Elle rend des décisions de qualité et règle en temps opportun des cas en ce qui concerne les demandes d’asile présentées par des personnes au Canada et l’examen des risques avant renvoi de personnes frappées d’une mesure de renvoi.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la SPR, consulter le site Web de la CISR.

Résultats

La SPR a réglé 24 200 cas sous le régime du nouveau système et 2 600 anciens cas, pour un total de 26 800 cas en 2017-2018, comparativement à 17 600 cas à l’exercice précédent. Il s’agit d’une hausse de 9 200 cas, soit 52 p. 100, par rapport à l’exercice précédent. Ce résultat découle des ressources supplémentaires et de l’expérimentation de nouvelles approches de gestion des cas, notamment d’innovations dans l’attribution des cas aux commissaires, de modèles de soutien au Greffe et de formation ciblée à l’intention des commissaires.

En outre, pendant l’exercice, la SPR s’est efforcée de mieux harmoniser les ressources et les besoins uniques de chaque demande d’asile. La nouvelle approche permet de concilier l’instruction des demandes d’asile dans l’ordre où elles ont été reçues et la réalisation de divers gains d’efficacité dans la gestion des cas, tout en remédiant aux problèmes d’intégrité du programme au fur et à mesure qu’ils surviennent. La Section a, entre autres, augmenté son recours au processus de traitement accéléré (p. ex. prise de décision découlant d’une instruction sur dossier) et orienté un nombre accru de demandes d’asile vers une audience courte. Comme toujours, elle a fait des exceptions pour mettre au rôle en priorité les cas de certains groupes de demandeurs d’asile, tels les mineurs non accompagnés et les personnes vulnérables. La nouvelle approche prévoit aussi une réponse solide et ciblée aux maintes demandes d’asile présentées par des personnes qui franchissent la frontière entre les points d’entrée. Grâce à cette méthode de mise au rôle, la SPR a réduit les remises d’audience inutiles, tout en tirant mieux parti de la spécialisation par pays des décideurs.

À la fin de l’exercice 2017-2018, il y avait un arriéré de 52 900 cas à la SPR, soit une hausse de 25 300 cas par rapport à l’exercice précédent. Cette hausse découle du fait que la SPR a reçu près du double de demandes d’asile en 2017-2018, comparativement à l’exercice précédent.

Même si le nombre accru de cas réglés a permis à la SPR de ralentir le rythme de croissance de l’arriéré, le nombre sans précédent de demandes d’asile déférées a néanmoins entraîné un arriéré plus important à la fin de l’exercice, malgré les importants gains en matière de cas réglés réalisés par la Section.

Résultats atteints
Résultats attendusIndicateurs de rendementCibleDate d’atteinte de la cible
Résultats réels

2017-20182016-20172015-2016
Les cas sont réglés au terme des audiences ciblées et respectueuses, et des décisions transparentes et intelligibles sont renduesLa note moyenne des audiences est évaluée sur une échelle de 1 à 3 selon les critères suivants : audiences respectueuses et concises, et décisions claires, concises et complètes2,0Mars 2018Reprise de la collecte de données en 2018-2019Note 12,2Reprise de la collecte de données en 2016-2017Note 2
Décisions rendues en temps opportunNombre de demandes d’asile réglées dans les 120 jours suivant le renvoi8 750Mars 20188 400Note 3s.o.Note 4s.o.Note 5
Nombre total de demandes d’asile réglées17 500Mars 201826 800Note 6s.o.Note 7s.o.Note 8
Ressources financières budgétaires (en dollars)
Budget principal
des dépenses
2017-2018
Dépenses
prévues
2017-2018
Autorisations totales pouvant être utilisées
2017-2018
Dépenses réelles (autorisations utilisées)
2017-2018
Écart (dépenses réelles moins dépenses prévues)
2017-2018
47 194 69447 194 69448 182 99354 430 8527 236 158
Ressources humaines (équivalents temps plein [ETP])Note 9
Nombre d’équivalents
temps plein prévus
2017-2018
Nombre d’équivalents
temps plein réels
2017-2018
Écart (nombre d’équivalents temps plein réels moins nombre d’équivalents temps plein prévus)
2017-2018
45249139

1.2 Appels des réfugiés

Description

La Section d’appel des réfugiés (SAR) exerce le programme Appels des réfugiés de la CISR. Elle rend des décisions de qualité et règle en temps opportun des cas en ce qui concerne les appels interjetés contre une décision de la Section de la protection des réfugiés relative à une demande d’asile.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la SAR, consulter le site Web de la CISR.

Résultats

La SAR a réglé 3 300 appels en 2017-2018, ce qui correspond à une hausse de 200 appels ou de 6 p. 100 par rapport à l’exercice précédent. Cette hausse peut être attribuable à une combinaison de processus renforcés de gestion des cas, à de nouveaux outils de technologie de l’information, à d’importants changements apportés à la formation et au perfectionnement professionnel des commissaires ainsi qu’aux nouveaux décideurs nommés par décret.

À la fin de l’exercice 2017-2018, l’arriéré a toutefois augmenté, pour passer de 2 100 appels à 4 600 appels, soit une hausse de 2 500 appels ou de 119 p. 100 par rapport à l’exercice précédent. Bien que plus de décideurs aient été embauchés, le taux de nomination conjugué au temps d’intégration signifiait que le nombre d’appels réglés ne pouvait suivre le nombre d’appels interjetés, ce qui a mené à une croissance accrue dans l’arriéré. Les postes de décideurs toujours vacants ont nui à la capacité de la SAR de suivre le rythme des appels croissants. Au cours de l’exercice 2016-2017, la SAR comptait de 31 p. 100 à 53 p. 100 de décideurs de moins que l’effectif prévu au budget. Le nombre d’appels réglés devrait augmenter lorsque les décideurs nommés en 2016-2017 et en 2017-2018 auront acquis de l’expérience et que d’autres décideurs seront nommés grâce au financement supplémentaire reçu dans le cadre du budget de 2018.

En 2017-2018, la SAR a appuyé les engagements prévus de la CISR en tenant les audiences et en réglant les appels de manière équitable. Toutefois, en raison du nombre croissant d’appels interjetés et de la pénurie de décideurs, et du fait que la SAR a choisi d’accorder la priorité au traitement des anciens cas dans l’arriéré, la SAR n’a réussi qu’à régler 10 p. 100 des appels dans les délais prescrits par la loi. Cette situation se poursuivra probablement, car le nombre de cas reçus demeure supérieur à la capacité décisionnelle. Le pourcentage d’appels réglés dans les délais prescrits par la loi devrait remonter lorsque l’effectif de décideurs sera complet et que les récentes mesures d’efficacité seront entièrement mises en œuvre.

Résultats atteints
Résultats attendusIndicateurs de rendementCibleDate d’atteinte de la cibleRésultats réels
2017-2018
Résultats réels
2016-2017
Résultats réels
2015-2016
Les cas sont réglés au terme des audiences ciblées et respectueuses, et des décisions transparentes et intelligibles sont renduesLa note moyenne des audiences est évaluée sur une échelle de 1 à 3 selon les critères suivants : audiences respectueuses et concises, et décisions claires, concises et complètes2,0Mars 2018Reprise de la collecte de données en 2018-20192,1Collecte de données impossible pour 2015-2016. Elle a commencé en 2016-2017.
Décisions rendues en temps opportunPourcentage des décisions rendues dans les 90 jours suivant la date à laquelle l’appel est interjeté et mis en état dans les cas où aucune audience n’est tenue80 %Mars 201810 %55 %53 %
Ressources financières budgétaires (en dollars)
Budget principal
des dépenses
2017-2018
Dépenses
prévues
2017-2018
Autorisations totales
pouvant être utilisées
2017-2018
Dépenses réelles
(autorisations utilisées)
2017-2018
Écart (dépenses
réelles moins dépenses prévues
2017-2018
21 991 69621 991 69621 991 69611 948 349(10 043 347)
Ressources humaines (ETP)Note 10
Nombre d’ETP prévus
2017-2018
Nombre d’ETP réels
2017-2018
Écart (nombre d’ETP réels moins
nombre d’ETP prévus)
2017-2018
17190(81)Note 11

1.3 Enquêtes et contrôles des motifs de détention

Description

La Section de l’immigration (SI) exerce le programme Enquêtes et contrôles des motifs de détention. Elle rend des décisions de qualité et règle en temps opportun des cas en ce qui concerne les étrangers ou les résidents permanents qui seraient interdits de territoire au Canada en vertu de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés (LIPR) et les étrangers ou les résidents permanents qui sont détenus en vertu de la LIPR.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la SI, consulter le site Web de la CISR.

Résultats

La SI a su garder le rythme des cas reçus tout au long de la période de référence en réglant 10 800 contrôles des motifs de détention et 2 000 enquêtes en 2017-2018. Les cas déférés pour enquête ont diminué de 11 p. 100 par rapport à l’exercice précédent, tandis que les contrôles des motifs de détention ont diminué de 6 p. 100. La Section a encouragé les discussions ouvertes et les consultations entre la direction, les employés du Greffe et les décideurs sur différents enjeux importants, notamment l’amélioration des processus opérationnels, les diverses interprétations de la loi, l’élaboration continue des outils décisionnels et un environnement d’apprentissage continu à tous les niveaux.

Au cours de l’exercice 2017-2018, la SI a appuyé les engagements prévus de la CISR en tenant les contrôles des motifs de détention dans le respect des délais prescrits par la loi. La CISR a aussi amorcé un audit interne dont la portée consistait à déterminer la fréquence des problèmes liés aux droits fondamentaux et à l’équité procédurale dans les contrôles des motifs de détention de longue durée.

La SI a continué à traiter les enquêtes d’une manière qui respecte les droits fondamentaux et l’équité procédurale, et elle l’a fait de la façon la plus efficace possible en surveillant étroitement ses normes de mise au rôle et ses pratiques de gestion des cas. La SI a surpassé sa cible de productivité de 86 p. 100 en réglant 92 p. 100 des cas dans un délai de six mois, un niveau compatible avec les trois derniers exercices.

Résultats atteints
Résultats attendusIndicateurs de rendementCibleDate d’atteinte de la cibleRésultats réels
2017-20182016-20172015-2016
Les cas sont réglés au terme des audiences ciblées et respectueuses, et des décisions transparentes et intelligibles sont renduesLa note moyenne des audiences est évaluée sur une échelle de 1 à 3 selon les critères suivants : audiences respectueuses et concises, et décisions claires, concises et complètes2,0Mars 20182,2Reprise de la collecte de données en 2017-20182,3
Décisions rendues en temps opportunPourcentage de contrôles des motifs de détention terminés dans les délais prévus par la loi96 %Note 12Mars 201898 %98 %98 %
Pourcentage des enquêtes réglées dans un délai de six mois86 %Note 13Mars 201892 %92 %93 %
Ressources financières budgétaires (en dollars)
Budget principal
des dépenses
2017-2018
Dépenses
prévues
2017-2018
Autorisations totales
pouvant être utilisées
2017-2018
Dépenses réelles
(autorisations utilisées)
2017-2018
Écart (dépenses
réelles moins dépenses prévues)
2017-2018
11 683 94111 683 94111 780 22610 927 591(756 350)
Ressources humaines (ETP)Note 14
Nombre d’équivalents
temps plein prévus
2017-2018
Nombre d’équivalents
temps plein réels
2017-2018
Écart (nombre d’équivalents temps plein réels moins nombre d’équivalents temps plein prévus)
2017-2018
9080(10)

1.4 Appels en matière d’immigration

Description

La Section d’appel de l’immigration (SAI) exerce le programme Appels en matière d’immigration. Elle rend des décisions de qualité et règle en temps opportun des cas en ce qui concerne les demandes de parrainage refusées par le ministère de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté; certaines mesures de renvoi prises contre des résidents permanents, des réfugiés et d’autres personnes protégées ainsi que des titulaires d’un visa de résident permanent; les appels interjetés par les résidents permanents à l’extérieur du Canada au sujet desquels il a été conclu qu’ils n’ont pas rempli leur obligation de résidence; les appels interjetés par le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile contre une décision de la Section de l’immigration relativement à une enquête.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la SAI, consulter le site Web de la CISR.

Résultats

La SAI a réglé 6 800 cas en 2017-2018, comparativement à 6 400 cas à l’exercice précédent, ce qui représente une hausse de 400 cas, soit 6 p. 100, par rapport à l’exercice précédent. En outre, la SAI a accordé un sursis temporaire à l’exécution de la mesure de renvoi dans 400 appels pour des motifs d’ordre humanitaire.

À la fin de l’exercice 2017-2018, il y avait 8 300 cas en attente d’un règlement, soit 2 000 de moins ou une baisse de 19 p. 100 par rapport à l’exercice précédent. Ce résultat a été obtenu grâce à une baisse du nombre d’appels interjetés et à la mise en œuvre de stratégies proactives de gestion des cas, comme les améliorations apportées au programme de règlement anticipé, le projet pilote de triage express et les innovations relatives à la mise au rôle. La SAI a aussi réussi à doter d’autres postes de décideurs et elle s’est concentrée sur le perfectionnement professionnel et la prestation de son nouveau programme de formation, qui comprend le processus décisionnel actif et la rédaction de motifs ciblés.

La SAI a poursuivi son travail d’examen de ses règles de procédure en vue de simplifier le processus d’appel et de maximiser le nombre d’appels réglés sans la tenue d’une audience. En prévision des modifications réglementaires, la SAI a achevé l’ébauche d’instructions et de ses règles de pratique révisées après avoir tenu des consultations avec les intervenants internes et externes. La SAI a également poursuivi l’examen et la révision de ses formulaires, lettres et guides en appliquant les normes de rédaction en langage simple afin de faciliter la compréhension du processus d’appel par les parties.

Au cours de l’exercice 2017-2018, la SAI a appuyé les engagements prévus de la CISR en tenant les audiences et en réglant les cas dans le respect des droits fondamentaux et de l’équité procédurale. Grâce à des stratégies novatrices de gestion et à des ressources supplémentaires, la Section a non seulement atteint ses cibles prévues en réglant un plus grand nombre d’appels que le nombre d’appels interjetés en 2017-2018, mais elle a aussi surpassé sa cible de 44 p. 100, ce qui lui permettra d’éliminer son arriéré au cours du prochain exercice.

Résultats atteints
Résultats attendusIndicateurs de rendementCibleDate d’atteinte de la cibleRésultats réels
2017-20182016-20172015-2016
Les cas sont réglés au terme des audiences ciblées et respectueuses, et des décisions transparentes et intelligibles sont renduesLa note moyenne des audiences est évaluée sur une échelle de 1 à 3 selon les critères suivants : audiences respectueuses et concises, et décisions claires, concises et complètes2,0Mars 20182,8Reprise de la collecte de données en 2017-20182,8
Décisions rendues en temps opportunPourcentage d’appels réglés par rapport aux appels interjetés100 %Mars 2018144 %100 %Note 15121 %Note 16
Motifs rendus dans les 60 jours suivant l’audience85 %Mars 201887 %s.o.Note 17s.o.Note 18
Ressources financières budgétaires (en dollars)
Budget principal
des dépenses
2017-2018
Dépenses
prévues
2017-2018
Autorisations totales
pouvant être utilisées
2017-2018
Dépenses réelles
(autorisations utilisées)
2017-2018
Écart (dépenses
réelles moins dépenses prévues
2017-2018
16 332 23116 332 23119 576 42616 580 449248 218
Ressources humaines (ETP)Note 19
Nombre d’équivalents
temps plein prévus
2017-2018
Nombre d’équivalents
temps plein réels
2017-2018
Écart (nombre d’équivalents temps plein réels moins nombre d’équivalents temps plein prévus)
2017-2018
1251283


Services internes

Description

On entend par services internes les groupes d’activités et de ressources connexes que le gouvernement fédéral considère comme des services de soutien aux programmes ou qui sont requis pour respecter les obligations d’une organisation. Les services internes renvoient aux activités et aux ressources de 10 catégories de services distinctes qui soutiennent l’exécution des programmes au sein de l’organisation, sans égard au modèle de prestation des services internes du ministère. Les 10 catégories de services sont : services de gestion et de surveillance, services des communications, services juridiques, services de gestion des ressources humaines, services de gestion des finances, services de gestion de l’information, services des technologies de l’information, services de gestion des biens, services de gestion du matériel et services de gestion des acquisitions.

Résultats

Les services internes appuient l’atteinte du résultat stratégique de la CISR et y contribuent. En 2017-2018, la CISR a veillé à ce que les ressources humaines et financières appropriées ainsi que les outils technologiques, de formation et de gestion de l’information soient en place pour appuyer les priorités stratégiques et en cours de la CISR.

Étant donné la croissance sans précédent des demandes d’asile déférées au cours de la période de référence, des fonds supplémentaires ont été réservés pour la CISR dans le budget de 2018 afin d’accroître la capacité de la SPR et de la SAR à régler des cas. Les services internes ont appuyé les préparatifs accélérés liés à la dotation et à l’aménagement des locaux, par exemple en élaborant un plan de mise en œuvre qui définit les principales lacunes en matière de ressources humaines ainsi que les besoins futurs.

Les services internes se sont également consacrés à l’amélioration de l’expérience des clients. La collaboration avec les sections en vue de simplifier les formulaires et les procédures du tribunal et d’élaborer un site Web plus accessible et convivial, qui a été lancé au début du nouvel exercice, figurent parmi les mesures qui ont été prises.

Les services internes ont aussi appuyé les efforts continus de la CISR visant à promouvoir le mieux-être des employés en milieu de travail. Parmi les activités menées, la haute direction de la Commission a rencontré les employés de tous les bureaux régionaux dans le cadre de séances de discussion ouverte et d’autres tribunes pour comprendre leurs besoins et veiller à ce que les plans de l’organisation correspondent aux priorités relatives au milieu de travail de qualité proposées par les employés.

Ressources financières budgétaires (en dollars)
Budget principal
des dépenses
2017-2018
Dépenses
prévues
2017-2018
Autorisations totales
pouvant être utilisées
2017-2018
Dépenses réelles
(autorisations utilisées)
2017-2018
Écart (dépenses
réelles moins dépenses prévues)
2017-2018
29 881 30829 881 30836 529 51837 805 1437 923 835
Ressources humaines (ETP)
Nombre d’équivalents
temps plein prévus
2017-2018
Nombre d’équivalents
temps plein réels
2017-2018
Écart (nombre d’équivalents temps plein réels moins nombre d’équivalents temps plein prévus)
2017-2018
25026818

Analyse des tendances en matière de dépenses et de ressources humaines

Dépenses réelles

Graphique des tendances relatives aux dépenses de l'organisation

Graphique des tendances relatives aux dépenses de l'organisation  

[Format alternatif]

L'image illustre un diagramme en barres représentant les dépenses réelles et projetées de la Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada de 2015-2016 à 2020-2021.

  • L'axe des Y (vertical) représente les montants en dollars avec des augmentations de
    20 000 000 variant de 0 à 180 000 000.
  • L'axe des X (horizontal) représente six exercices financiers de 2015-2016 à 2020-2021.

Chaque exercice financier comprend trois sections :

  • La première représente le montant des programmes temporisés - anticipés;
  • La seconde représente le montant des postes législatifs;
  • La troisième représente le montant des crédits votés.

Pour l'exercice financier 2015-2016, le total des dépenses était de 112 397 173 $:

  • Le montant des programmes temporisés - anticipés était de 0 $;
  • Le montant des postes législatifs était de 11 966 103 $; et
  • Le montant des postes votés était de 100 431 070 $.

Pour l'exercice financier 2016-2017, le total des dépenses était de 115 499 467 $:

  • Le montant des programmes temporisés - anticipés était de 0 $;
  • Le montant des postes législatifs était de 12 181 639 $; et
  • Le montant des postes votés était de 103 317 828 $.

Pour l'exercice financier 2017-2018, le total des dépenses est de 131 692 384 $:

  • Le montant des programmes temporisés - anticipés sera de 0 $;
  • Le montant des postes législatifs sera de 13 328 068 $; et
  • Le montant des postes votés sera de 118 364 316 $.

Pour l'exercice financier 2018-2019, le total des dépenses sera de 130 328 316 $:

  • Le montant des programmes temporisés - anticipés sera de 1 485 620 $;
  • Le montant des postes législatifs sera de 14 389 165 $; et
  • Le montant des postes votés sera de 114 453 531 $.

Pour l'exercice financier 2019-2020, le total des dépenses sera de 164 804 153 $:

  • Le montant des programmes temporisés - anticipés sera de 14 076 020 $;
  • Le montant des postes législatifs sera de 16 912 479 $; et
  • Le montant des postes votés sera de 133 815 654 $.

Pour l'exercice financier 2020-2021, le total des dépenses sera de 133 501 243 $:

  • Le montant des programmes temporisés - anticipés sera de 14 076 020 $;
  • Le montant des postes législatifs sera de 12 674 610 $; et
  • Le montant des postes votés sera de 106 750 613 $.

Il est prévu que le programme temporisé, qui assure le financement des cas exigeant la protection de renseignements conformément à la section 9 de la LIPR et la levée de l’obligation d’obtenir un visa pour les citoyens du Mexique, sera prolongé jusqu’en 2019-2020.

Sommaire du rendement budgétaire pour les programmes et les Services internes (en dollars)
Programmes et services internesBudget principal des dépenses
2017-2018
Dépenses prévues
2017-2018
Dépenses prévues
2018-2019
Dépenses prévues
2019-2020
Autorisations totales pouvant être utilisées
2017-2018
Dépenses réelles (autorisations utilisées)
2017-2018
Dépenses réelles (autorisations utilisées)
2016-2017
Dépenses réelles (autorisations utilisées)
2015-2016
1.1 Protection des réfugiés47 194 69447 194 69446 057 69459 250 41748 182 99354 430 852 42 277 011 41 540 255
1.2 Appels des réfugiés21 991 69621 991 69622 855 094 23 766 064 21 991 696 11 948 349 13 519 013 11 907 468
1.3 Enquêtes et contrôles des motifs de détention11 683 94111 683 94111 731 941 19 535 575 11 780 226 10 927 591 11 458 776 11 465 244
1.4 Appels en matière d’immigration16 332 23116 332 23116 332 231 11 372 210 19 576 426 16 580 449 15 660 007 15 889 895
Total partiel 97 202 562 97 202 562 96 976 960 113 924 266 101 531 341 93 887 241 82 914 807 80 802 862
Services internes29 881 30829 881 308 29 855 878 36 803 869 36 529 518 37 805 143 32 584 660 31 594 311
Total 127 083 870 127 083 870 126 832 838 150 728 135 138 060 859 131 692 384 115 499 467 112 397 173

La levée, en décembre 2016, de l’obligation d’obtenir un visa de résident temporaire pour les citoyens du Mexique et l’initiative Contrôle de la frontière en 2018 ont donné lieu à un financement supplémentaire pour les programmes Protection des réfugiés et Appel des réfugiés, en prévision de l’augmentation du nombre de demandeurs d’asile. L’augmentation des dépenses est attribuable à la dotation dans les bureaux régionaux et à l’infrastructure supplémentaires prévues pour régler les cas de ces demandeurs d’asile.

Ressources humaines réelles

Sommaire des ressources humaines pour les programmes et les services internes (ETP)
Programmes et services internesÉquivalents
temps plein réels
2015-2016
Équivalents
temps plein réels
2016-2017
Équivalents
temps plein projetés
2017-2018
Équivalents
temps plein réels
2017-2018
Équivalents
temps plein prévus
2018-2019
Équivalents
temps plein prévus
2019-2020
1.1 Protection des réfugiés402 407 452 491 621 631
1.2 Appels des réfugiés84 91 171 90 208 223
1.3 Enquêtes et contrôles des motifs de détention86 87 90 80 92 94
1.4 Appels en matière d’immigration120 130 125 128 125 125
Total partiel 692 715 838 789 1 046 1 073
Services internes242 261 250 268 273 281
Total 934 976 1 088 1 057 1 319 1 354

La CISR s’emploie actuellement à pourvoir des postes pour répondre aux besoins croissants de l’organisation.

Dépenses par crédit voté

Pour obtenir des renseignements sur les dépenses votées et les dépenses législatives de la CISR, consulter les Comptes publics du Canada de 2017-2018.

Dépenses et activités du gouvernement du Canada

Des renseignements sur l’harmonisation des dépenses de la CISR avec les activités et dépenses du gouvernement du Canada sont accessibles dans l’InfoBase du GC.

États financiers et faits saillants des états financiers

États financiers

Les états financiers (non audités) de la CISR pour l’exercice se terminant le 31 mars 2018 se trouvent sur le site Web de la CISR.

Faits saillants des états financiers

État condensé des opérations (non audité) pour l’exercice se terminant le 31 mars 2018 (en dollars)
Renseignements financiersRésultats prévus 2017-2018Résultats réels 2017-2018Résultats réels 2016-2017 Écart (résultats réels 2017-2018 moins résultats prévus 2017-2018)Écart (résultats réels 2017-2018 moins résultats réels 2016-2017)
Total des charges154 986 000160 054 370140 620 2915 068 37019 434 079
Total des revenus00000
Coût de fonctionnement net avant le financement du gouvernement et les transferts154 986 000160 054 370140 620 2915 068 37019 434 079

Les dépenses réelles de 160 millions de dollars reflètent une augmentation de 19,4 millions de dollars par rapport à l’exercice 2016-2017. Cette augmentation est en partie attribuable aux coûts rattachés au plus grand nombre d’ETP embauchés pour répondre à la charge de travail supplémentaire anticipée liée à la levée de l’obligation d’obtenir un visa pour les citoyens du Mexique et aux paiements découlant de la signature de nouvelles conventions collectives. L’augmentation des dépenses a été contrebalancée par une diminution des services professionnels et des coûts d’amortissement. Le total des dépenses réelles a été supérieur de 5 millions de dollars par rapport aux prévisions, essentiellement en raison de l’augmentation des coûts en personnel liés aux conventions collectives.

État condensé de la situation financière (non audité) au 31 mars 2018 (en dollars)
Renseignements financiers2017-20182016-2017Écart (2017-2018 moins 2016-2017)
Total des passifs nets21 688 15918 165 4823 522 677
Total des actifs financiers nets13 343 67410 733 2432 610 431
Dette nette de l’organisation8 344 4857 432 239912 246
Total des actifs non financiers2 951 1244 820 401(1 869 277)
Situation financière nette de l’organisation(5 393 361)(2 611 838)(2 781 523)

À la fin de l’exercice, le total des passifs, qui s’élevait à 21,7 millions de dollars, était composé des comptes créditeurs, des salaires à payer ainsi que des passifs liés aux futures indemnités de départ des employés et aux indemnités de vacances. À la fin de l’exercice, le total des actifs financiers s’élevait à 13,3 millions de dollars; ce nombre correspond aux montants à recevoir du Trésor et aux montants des comptes débiteurs. La dette nette de l’organisation, qui est de 8,3 millions de dollars, est calculée par la différence entre le total des passifs nets et les actifs financiers nets. L’indicateur de la dette nette représente le montant des revenus futurs requis pour régler le coût des opérations et des activités passées, et il témoigne de la situation financière de l’organisation. Le total des actifs non financiers correspond à la valeur comptable nette des immobilisations au 31 mars; il a diminué en raison de l’amortissement des immobilisations sur leur durée de vie utile prévue et du fait que de nouveaux investissements minimaux ont été effectués au chapitre des immobilisations en 2017-2018.


Renseignements supplémentaires

Renseignements organisationnels

Profil organisationnel

  • Ministre de tutelle : L’honorable Ahmed Hussen
  • Administrateur général : Richard Wex, président
  • Portefeuille ministériel : Immigration, Réfugiés et Citoyenneté
  • Instruments habilitants : Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés (LIPR)
  • Année d’incorporation ou de création: 1989

Pour obtenir de plus amples renseignements organisationnels sur la CISR, consulter le site Web de la CISR.

Cadre de présentation de rapports

Le résultat stratégique et l’architecture d’alignement des programmes (AAP) officiels de la CISR pour 2017-2018 sont présentés ci-dessous.

D’après le mandat qui lui est conféré par la loi et d’après son AAP approuvée pour la période de référence 2017-2018, la CISR a un seul résultat stratégique et quatre programmes principaux englobant la responsabilité de l’ensemble des décisions et des règlements du tribunal. Le cinquième programme, les services internes, appuie les quatre autres et le résultat stratégique.

  1. Résultat stratégique : Régler, de manière efficace, équitable et conforme à la loi, les cas d’immigration et de statut de réfugié devant la Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada
    • Programme 1.1 : Protection des réfugiés
    • Programme 1.2 : Appels des réfugiés
    • Programme 1.3 : Enquêtes et contrôles des motifs de détention
    • Programme 1.4 : Appels en matière d’immigration
    • Services internes

Tableaux de renseignements supplémentaires

Les tableaux de renseignements supplémentaires suivants sont accessibles sur le site Web de la CISR.

  • Évaluations
  • Frais

Dépenses fiscales fédérales

Il est possible de recourir au régime fiscal pour atteindre des objectifs de la politique publique en appliquant des mesures spéciales, comme de faibles taux d’impôt, des exemptions, des déductions, des reports et des crédits. Le ministère des Finances Canada publie chaque année des estimations et des projections du coût de ces mesures dans le Rapport sur les dépenses fiscales fédérales. Ce rapport donne aussi des renseignements généraux détaillés sur les dépenses fiscales, y compris les descriptions, les objectifs, les renseignements historiques et les renvois aux programmes des dépenses fédéraux connexes. Les mesures fiscales présentées dans ce rapport relèvent du ministre des Finances.

Coordonnées de l'organisation

Pour obtenir plus de renseignements, consulter le site Web de la CISR ou communiquer avec la CISR en accédant à la page Contactez-nous ou en lui écrivant à l’adresse suivante :

Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada
Place Minto — Édifice Canada
344, rue Slater, 12e étage
Ottawa (Ontario) K1A 0K1

Suivez-nous sur Twitter ou Facebook.


Annexe : définitions

analyse comparative entre les sexes plus (ACS+) (gender-based analysis plus [GBA+])
Approche analytique qui sert à évaluer les répercussions potentielles des politiques, des programmes ou des initiatives sur divers ensembles de personnes (femmes, hommes ou autres). L’identité individuelle est déterminée par une multitude de facteurs en plus du sexe, par exemple la race, l’origine ethnique, la religion, l’âge ou le fait de vivre avec un handicap de nature physique ou intellectuelle. D’où l’ajout du mot « plus », signifiant que l’analyse ne se limite pas au sexe (différences biologiques) ou au genre (la construction sociale du sexe), mais considère aussi les autres facteurs qui les recoupent. Un processus d’ACS+ pourrait être, à titre d’exemple, le recours à des données ventilées selon le sexe, le genre et d’autres facteurs identitaires pour les analyses du rendement, et la détermination de toute répercussion du programme sur divers groupes de personnes dans l’optique de modifier les initiatives pour les rendre plus inclusives.

architecture d’alignement des programmes (Program Alignment Architecture)
Répertoire structuré de tous les programmes d’un ministère ou organisme qui décrit les liens hiérarchiques entre les programmes et les liens aux résultats stratégiques auxquels ils contribuent.

cadre ministériel des résultats (Departmental Results Framework)
Comprend les responsabilités essentielles, les résultats ministériels et les indicateurs de résultat ministériel.

cible (target)
Niveau mesurable du rendement ou du succès qu’une organisation, un programme ou une initiative prévoit atteindre dans un délai précis. Une cible peut être quantitative ou qualitative.

crédit (appropriation)
Autorisation donnée par le Parlement d’effectuer des paiements sur le Trésor.

dépenses budgétaires (budgetary expenditures)
Dépenses de fonctionnement et en capital; paiements de transfert à d’autres ordres de gouvernement, à des organisations ou à des particuliers; et paiements à des sociétés d’État.

dépenses législatives (statutory expenditures)
Dépenses approuvées par le Parlement à la suite de l’adoption d’une loi autre qu’une loi de crédits. La loi précise les fins auxquelles peuvent servir les dépenses et les conditions dans lesquelles elles peuvent être effectuées.

dépenses non budgétaires (non budgetary expenditures)
Recettes et décaissements nets au titre de prêts, de placements et d’avances, qui modifient la composition des actifs financiers du gouvernement du Canada.

dépenses prévues (planned spending)
En ce qui a trait aux plans ministériels et aux rapports sur les résultats ministériels, les dépenses prévues s’entendent des montants approuvés par le Conseil du Trésor au plus tard le 1er février. Elles peuvent donc comprendre des montants qui s’ajoutent aux dépenses prévues indiquées dans le budget principal des dépenses.

Un ministère est censé être au courant des autorisations qu’il a demandées et obtenues. La détermination des dépenses prévues relève du ministère, et ce dernier doit être en mesure de justifier les dépenses et les augmentations présentées dans son plan ministériel et son rapport sur les résultats ministériels.

dépenses votées (voted expenditures)
Dépenses approuvées annuellement par le Parlement par une loi de crédits. Le libellé de chaque crédit énonce les conditions selon lesquelles les dépenses peuvent être effectuées.

équivalent temps plein (full time equivalent)
Mesure utilisée pour représenter une année-personne complète d’un employé dans le budget ministériel. Les équivalents temps plein sont calculés par un rapport entre les heures de travail assignées et les heures de travail prévues. Les heures normales sont établies dans les conventions collectives.

évaluation (evaluation)
Au sein du gouvernement du Canada, collecte et analyse systématiques et neutres de données probantes en vue d’évaluer le bien-fondé, le mérite ou la valeur. L’évaluation guide la prise de décisions, les améliorations, l’innovation et la reddition de comptes. Elle porte habituellement sur les programmes, les politiques et les priorités et examine des questions se rapportant à la pertinence, à l’efficacité et à l’efficience. Toutefois, selon les besoins de l’utilisateur, l’évaluation peut aussi examiner d’autres unités, thèmes et enjeux, notamment des solutions de rechange aux interventions existantes. L’évaluation utilise généralement des méthodes de recherche des sciences sociales.

expérimentation (experimentation)
Activités visant à étudier, mettre à l’essai et comparer les effets et les répercussions de politiques, d’interventions et d’approches pour savoir ce qui fonctionne et ne fonctionne pas, et à étayer la prise de décision sur des éléments probants.

indicateur de rendement (performance indicator)
Moyen qualitatif ou quantitatif de mesurer un extrant ou un résultat en vue de déterminer le rendement d’une organisation, d’un programme, d’une politique ou d’une initiative par rapport aux résultats attendus.

indicateur de résultat ministériel (Departmental Result Indicator)
Facteur ou variable qui présente une façon valide et fiable de mesurer ou de décrire les progrès réalisés par rapport à un résultat ministériel.

initiative horizontale (horizontal initiative)
Initiative dans le cadre de laquelle deux organisations fédérales ou plus reçoivent du financement dans le but d’atteindre un résultat commun, souvent associé à une priorité du gouvernement.

plan (plan)
Exposé des choix stratégiques qui montre comment une organisation entend réaliser ses priorités et obtenir les résultats connexes. De façon générale, un plan explique la logique qui sous-tend les stratégies retenues et tend à mettre l’accent sur des mesures qui se traduisent par des résultats attendus.

plan ministériel (Departmental Plan)
Exposé des plans et du rendement attendu d’un ministère qui reçoit des crédits parlementaires. Les plans ministériels couvrent une période de trois ans et sont présentés au Parlement au printemps.

priorité (priority)
Plan ou projet qu’une organisation a choisi de cibler et dont elle rendra compte au cours de la période de planification. Il s’agit de ce qui importe le plus ou qui doit être fait en premier pour appuyer la réalisation du ou des résultats stratégiques souhaités.

priorités pangouvernementales (government-wide priorities)
Aux fins du Rapport sur les résultats ministériels 2017-2018, les thèmes de haut niveau qui présentent le programme du gouvernement issu du discours du Trône de 2015 (c’est-à-dire la croissance de la classe moyenne, un gouvernement ouvert et transparent, un environnement sain et une économie forte, la diversité en tant que force du Canada, ainsi que la sécurité et les possibilités).

production de rapports sur le rendement (performance reporting)
Processus de communication d’information sur le rendement fondée sur des éléments probants. La production de rapports sur le rendement appuie la prise de décisions, la responsabilisation et la transparence.

programme (program) (s’applique aux ministères dont le rapport est fondé sur l’architecture d’alignement des programmes)
Groupe de ressources et d’activités connexes géré de manière à répondre à des besoins précis et à atteindre les résultats visés; ces ressources et activités sont traitées comme une unité budgétaire.

programme (Program) (s’applique aux ministères dont le rapport est fondé sur le cadre ministériel des résultats)
Services et activités, pris séparément ou en groupe, ou une combinaison des deux, qui sont gérés ensemble au sein du ministère et qui portent sur un ensemble déterminé d’extrants, de résultats ou de niveaux de services.

programme temporisé (sunset program)
Programme ayant une durée fixe et dont le financement et l’autorisation politique ne sont pas permanents. Lorsqu’un tel programme arrive à échéance, une décision doit être prise quant à son maintien. Dans le cas d’un renouvellement, la décision précise la portée, le niveau de financement et la durée.

rapport sur les résultats ministériels (Departmental Results Report)
Rapport d’un ministère recevant des crédits parlementaires qui présente les réalisations réelles par rapport aux plans, aux priorités et aux résultats attendus énoncés dans le plan ministériel correspondant.

rendement (performance)
Utilisation qu’une organisation a faite de ses ressources en vue d’obtenir ses résultats, mesure dans laquelle ces résultats se comparent à ceux que l’organisation souhaitait obtenir, et mesure dans laquelle les leçons apprises ont été cernées.

répertoire des programmes (Program Inventory)
Compilation de l’ensemble des programmes du ministère et description de la manière dont les ressources sont organisées pour contribuer aux responsabilités essentielles et aux résultats du ministère.

responsabilité essentielle (Core Responsibility)
Fonction ou rôle permanent exercé par un ministère. Les intentions du ministère concernant une responsabilité essentielle se traduisent par un ou plusieurs résultats ministériels auxquels le ministère cherche à contribuer ou sur lesquels il veut avoir une influence.

résultat (result)
Conséquence externe attribuable en partie aux activités d’une organisation, d’une politique, d’un programme ou d’une initiative. Les résultats ne relèvent pas d’une organisation, d’une politique, d’un programme ou d’une initiative unique, mais ils s’inscrivent dans la sphère d’influence de l’organisation.

résultat ministériel (Departmental Result)
Changements sur lesquels les ministères veulent exercer une influence. Un résultat ministériel échappe généralement au contrôle direct des ministères, mais il devrait être influencé par les résultats des programmes.

résultat stratégique (Strategic Outcome)
Avantage durable et à long terme pour les Canadiens qui est rattaché au mandat, à la vision et aux fonctions de base d’une organisation.

structure de gestion, des ressources et des résultats (Management, Resources and Results Structure)
Cadre global qui consiste en un répertoire des programmes, des ressources, des résultats, des indicateurs de rendement et de l’information sur la gouvernance d’une organisation. Les programmes et les résultats sont décrits en fonction du lien hiérarchique qui les unit, ainsi que du ou des résultats stratégiques auxquels ils contribuent. La structure de gestion, des ressources et des résultats est élaborée à partir de l’architecture d’alignement des programmes.

Notes
Note 1

Les résultats de la mesure du rendement n’ont pas été communiqués pour l’exercice visé en raison des ressources limitées et de la stabilité historique du rendement dans cette catégorie.

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Note 2

Les résultats de la mesure du rendement n’ont pas été communiqués pour l’exercice visé en raison des ressources limitées et de la stabilité historique du rendement dans cette catégorie.

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Note 3

Nouvel indicateur de rendement pour l’exercice 2017-2018. Cette donnée n’était pas communiquée au cours des exercices antérieurs.

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Note 4

Nouvel indicateur de rendement pour l’exercice 2017-2018. Cette donnée n’était pas communiquée au cours des exercices antérieurs.

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Note 5

Nouvel indicateur de rendement pour l’exercice 2017-2018. Cette donnée n’était pas communiquée au cours des exercices antérieurs.

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Note 6

Nouvel indicateur de rendement pour l’exercice 2017-2018. Cette donnée n’était pas communiquée au cours des exercices antérieurs.

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Note 7

Nouvel indicateur de rendement pour l’exercice 2017-2018. Cette donnée n’était pas communiquée au cours des exercices antérieurs.

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Note 8

Nouvel indicateur de rendement pour l’exercice 2017-2018. Cette donnée n’était pas communiquée au cours des exercices antérieurs.

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Note 9

Les ressources humaines comprennent le soutien décisionnel et la direction des sections, en plus des décideurs.

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Note 10

Les ressources humaines comprennent le soutien décisionnel et la direction des sections, en plus des décideurs.

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Note 11

Parmi les 81 postes d’ETP vacants, 25 sont des postes de décideurs. Il y a environ 2,2 ressources de soutien par décideur.

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Note 12

Des facteurs ne dépendant pas de la CISR, comme l’interdiction d’accès aux prisons, empêchent d’atteindre un taux de conformité de 100 p. 100.

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Note 13

Les contrôles des motifs de détention ont priorité sur les enquêtes en raison des délais prévus par la loi. Le nombre de cas déférés par l’Agence des services frontaliers du Canada influera sur la capacité de la SI de tenir des enquêtes.

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Note 14

Les ressources humaines comprennent le soutien décisionnel et la direction des sections, en plus des décideurs.

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Note 15

La cible était de 80 p. 100 pour les exercices 2016-2017 et 2015-2016.

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Note 16

La cible était de 80 p. 100 pour les exercices 2016-2017 et 2015-2016.

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Note 17

Nouvel indicateur de rendement pour l’exercice 2017-2018. Cette donnée n’était pas communiquée au cours des exercices antérieurs.

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Note 18

Nouvel indicateur de rendement pour l’exercice 2017-2018. Cette donnée n’était pas communiquée au cours des exercices antérieurs.

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Note 19

Les ressources humaines comprennent le soutien décisionnel et la direction des sections, en plus des décideurs.

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